Syrte: La Ville De Martyrs Et Le Silence Du Monde Occidental

Syrte: La ville de martyrs et le silence du monde occidental

Le dernier combat de la guerre de Libyenne se livre a Syrte. Tout le monde est pressé d'en finir. Les nouvelles autorités libyennes, qui veulent déclarer la libération du territoire national entier et enclencher la transition politique vers les élections. Le monde occidental, espérant conclure l'intervention armée dans la Lybie, auréolée de l'idéal ''plus jamais de guerre'', et leur succès en terminent la politique répressive du dictateur Mouammar Kadhafi.

Mais plus que tout, les habitants ils-même de Syrte pris au milieu du combat, espèrent la libération. Le dernier bastion Kadhafiste a réduit les civils à l'état de boucliers humains. Comme bien sont-ils, ces civils pris aux pièges des combats ? Au siège de l'OTAN personne n'est en mesure de le dire. Le FIEF politique historique du colonel kadhafi, la ville comptait environ 100,000 habitants. Des milliers ont pu s'échapper de l'enfer pendant une pause de lutte qui a dure une semaine, géré par le Conseil National de transition (CNT)

Cependant, il reste un grand nombre de familles, des femmes et des enfants, prisonniers d'une situation de guerre urbaine qui a été paradoxalement créée par l'intervention de l'OTAN. Comme une conséquence de décision prise par l'UNO a fin de protéger les civils. Ce qui a causé a syrte: un siège et une offensive des forces rebelles qui mettent les civils en grand danger. Le Comité international de la Croix-Rouge a déclenché l'alarme en qualifiant la situation de ces civils comme "désespérée".

On n'entend guère les dirigeants des pays occidentaux s'émouvoir publiquement au ce qui est entrain d'arriver aux habitants de cette ville meurtrie, transformée en paysage dévasté sous les tirs d'artillerie et de mortier et par les combats de rue.

Certes, des précautions ont été prises, comme le soulignement des officiers d'OTAN. Des messages urgents ont été envoyés aux combattants du CNT pour éviter des désastreux dégâts collatéraux parmi la population civile. Le CNT a confirmé aussi qu'il n'ouvre pas le feu de façon indiscriminée sur une population qui s'opposerait a son pouvoir.

Ceci était la grande différence avec le siège de Misrata, une ville attaquée pendant des mois par les troupes de Kadhafi. Mais la direction politique peut-elle garantir que les combattants dans le champ seront animes des mêmes scrupules ?

En plus, il est profondément gênant de voir des délégations commerciales, comme celle de France, qui est récemment arrivée, se dépêchent en Libye a la recherche des contrats commerciaux, alors que se prolonge la souffrance de Syrte, sur lequel les pouvoirs occidentales gardent le silence. L'OTAN